L’approche conceptuelle: analyse de terrain et projet architectural
I. Les objectifs principaux de du projet :
- Réalisation d’un équipement avec des façades revient dynamique (de bonne qualité).
- Réaliser des façades avec une similaire de la perception
- Renforcer l’armature urbaine et donner un caractère central à cette zone.
- Intégrer le projet dans un contexte urbain.
- La notion de voir à être vu la communication visuelle doit à reprise en considération.
- Avoir une image architecturale qui manquera le site.
- La diffusion de la science auprès des différentes catégories des citoyens.
- Sensibiliser et familiariser le public aux méthodes et aux découvertes scientifiques par toutes sortes de manifestations : expositions, démonstration etc.…
- Eveiller la curiosité intellectuelle des citoyens et renforcer chez les jeunes, depuis leur prime enfance.
- Crées un autre pôle attractif qui arriva et crée une construite avec le dynamisme de la Ville.
- Hiérarchisation des activités, selon la fréquentation et leur nature sans créer une rupture entre les fonctions.
II. La genèse du projet:
II.1.Le schéma de principe :
Notion et concepts :
La construction du schéma de principe se base sur des concepts se divise selon :
Centralité :
L’aspect de la centralité comme un élément articulateur et organisateur, qui assure les différentes liaisons fonctionnelles et spatiales, a pour but :
- Liberté du mouvement.
- Identification des espaces.
- Lecture rapide des espaces.
Fonctionnalité :
Les différentes fonctions seront disposées en fonction de leur relation et leur caractéristique pour obtenir une continuité et une complémentarité
Hiérarchie :
Le projet présente un programme riche et une diversité de fonctions qui nécessite une hiérarchisation dans la disposition de ces derniers afin que l’on puisse distinguer les fonctions primaires et secondaires, des fonctions calmes et bruyantes.
La genèse de schéma de principe :
D’abord notre idée de schéma de principe est commence par les 3 (trois) notions de la culture qui sont les suivants : le regroupement, l’universalité, la diversité.
La culture est un moteur de changement; l'action culturelle joue un rôle clés dans le dévalement social et renforce la diversité ; la culture en Algérie comporte des significations d’identité traditionnelle et culturelle tel que notre régions « Chaouïa » dans ces coutumes et traditions l’utilisation des significations avec des symboles spécifiques tel que (Khlala; Djbine; Dah) parmi eux on a inspire pour développer notre schéma de principe.
Figure 15: les principaux axes de schéma de principe
Source : travail personnel des étudiantes 2017
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On a travaillé selon (03) axes:
- L’un qui est principale de développement de la ville parallèle a la voie principale.
- 2 éme qui est fonctionnel radioconcentrique.
- 3 éme qui est l'axe virtuel de la vision selon le rond point.
Figure 16: le schéma de principe
Source : travail personnel des étudiantes 2017
Alors que notre schéma de principe est basé sur l’idée de la main qui univers et en même temps du khamsa qui est un symbole chaoui, le centre de la main qui représente le projet (le centre culturel), qui est centralisé de façon a optimisée l’espace entre l’air de jeux, la bibliothèque, la géode, pour répondre aux exigences des tout les usagers et surtout les personnes a mobilier réduite ( un élément d’articulation et organisation qui assure les différents liaisons fonctionnels et spéciales).
Puis les 5 espaces extérieurs lesquels : la géode, cinéma en plein air, le monde d’enfant extérieur, la bibliothèque en plein air et le monument symbole de la culture des Chaouis et élément attractif ; ils sont représentés les 5 doits de cette main (Khamsa).
II.2.l’idée de projet:
Notion et concepts:
Flexibilité :
Elle se traduit par la structure qui réduirait au maximum les contraintes d’aménagement de l’espace et la modularité de l’ensemble des composants constructifs.
La perméabilité :
Elle assure la relation de l’équipement avec son environnement à travers ces différents accès (piéton et mécanique) et les relations fonctionnelles entre les différentes entités internes ; elle peut se traduire à travers les relations visuelles internes de l’équipement.
Lisibilité :
La qualité visuelle, la clarté apparente se conjuguent pour créer une structure globale du projet qui lui permet d’être lisible à l’intérieur et se laisse découvrir à l’aide d’une fluidité et lisibilité de circulation.
Singularité :
La présence d’une forme, d’un élément unique qui ne se répéterait pas, son objectif est de marquer un moment fort de par sa signification ; son aspect formel, structurel et sa fonction.
La transparence :
Elle renforce l’accessibilité et implique la notion de continuité visuelle, c’est une façon de découvrir l’espace avant même de le franchir.
L’ouverture :
Cette ouverture va donner plus de liberté aux visiteurs afin qu’ils ne sentent pas cloisonnés.
Notion d’appel :
Le projet doit être un élément d’appel qui invite des gens à le visiter à travers l’incorporation de volume présentant un haut gabarit, un traitement exceptionnel, ou une forme qui sort de l’ordinaire.
Unicité :
Elle consiste à unir les différentes parties du projet afin d’avoir une image cohérente de ce dernier.
La genèse de l’idée:
La ville d’Ain El Beida et comme elle a connu par la capitale des Hirakata elle est plus connu par son symbole de la jument blanche, qui a la légende suivante :
« L’antiquité raconte que le nom de “Ain Beida”, source blanche, est lié à des anecdotes vécues par nos ancêtres et par des contemporains encore en vie, auprès desquels j’ai recueilli quelques précisions pour la solidité de ma narration que je voudrais objective.… Il était, dans le temps, un voyageur nommé Dieb, marié à Djezia, reine dont la renommée s’étendait très loin. Les deux tirent leur origine des Héllaïlia, en provenance du hadj (Arabie Saoudite). Dieb avait comme adversaire acharné un nommé Ramadhane Ben Chanlan, sans doute lui-même de la fraction Héllaïlia. Dans un combat à l’arme entre cavaliers, Ramadhane blessa la jument blanche de Dieb. Celui-ci raconta le fait à Djezia qui en fut fortement affligée. Dieb, dans le duel engagé, tua Ramadhane. Dieb avec Djezia et sa jument continuent le trajet à l’aventure jusqu’à leur arrivée à un endroit. La jument trottinant et fatiguée par la marche et la blessure reçue semblait exténuée. Pour l’encourager, comme si elle devait comprendre, Dieb lui dit : “Nini ya l’beïda, nini” (avance, la blanche, ma chérie, avance). D’où l’appellation historique de Nini, distante d’une trentaine de kilomètres de Aïn Beida. Arrivée péniblement en ce lieu qui était désert, la jument épuisée mourut. Par coïncidence, à cet endroit, jaillissait une source à ciel ouvert, réputée pour son eau fraîche, claire et limpide. C’est ainsi que les noms de la jument blanche et de la source, conjuguée, donnèrent lieu à l’appellation fascinante d’Aïn Beida “la source blanche”. » [1]
Et autant que l’importance de la jument blanche à la culture de la ville d’Ain El Beida, on a choisi de la prendre comme idée de base de notre projet.
Donc notre projet est essentiellement inspiré de la métaphore de la jument blanche d’Ain el Beida et ses étapes de la genèse comme suit :
Image 1:genèse de porjet de fin d’étude
Source : Travail réalisé par les étudiantes 2017
Conclusion générale:
L’assurance de la qualité dans n’importe quel projet a été toujours une préoccupation majeure. Qu’en est-il de la qualité des façades ?! Cette dernière qui considéré comme un titre principale ou bien un miroir réfléchissante de la valeur, la grandeur, le prestige et la culture de l’ouvrage.
Alors que notre recherche essentiellement a pour objectif de répondre à l’interrogation principale suivante : comment assurer une bonne qualité dans une façade d’un centre culturel pour une perception pareil entre les gents ?
Donc notre étude est basée d’abord sur un travail théorique, qui fait premièrement déterminé les notions de base de la qualité, puis de faire connaitre les critères principaux qui contrôle la qualité des façades, et comment ils fait les contrôlée ; puis on a précisé notre étude ce qui est concernant les centres culturels et les exigences essentiels qui assurent leurs qualité ; et par la suite on a passé à la partie analytique de ce mémoire, dans la quelle ou nous avons essai d’apporter des réponses aux hypothèses que nous nous étions posés, on a fait d’abord des analyses des façades des exemples suivants : le centre culturel d’El Amir Khaled à An El Beida, la maison de la culture Nouar Boubaker d’Oum El Bouaghi et le centre culturel de George Pompidou à Paris ; aussi qu’on a fait des questionnaire aux gens publics et utilisateurs de centre culturel d’El Amir Khaled et des interviews avec des personnes professionnels, et enfin on a obtient les résultats suivants :
Concernant la qualité des façades, elle est contrôlée par un ensemble des critères comme suit : l’équilibre, l’alignement, le contraste, la symétrie ou la dissymétrie, les matériaux de construction utilisés et l’influence des couleurs. Leurs pourcentages, distributions, apparences, elles font contrôler la qualité des façades. Alors que bien maitrisé ces critères doit s’assure la bonne qualité des façades ; et sachant que le cahier des charges le premier élément responsable de la précision des conditions, des règles et les exigences, mais le cahier des charges en Algérie n’est pas suffisant pour produire des centres culturels avec des façades de bonne qualité à cause du manque des articles concernant les façades et leurs qualité.
Donc on peut dire que l’hypothèse de la male élaboration et le manque concernant le cahier des charges est éprouvée.
Et comme solution pour ce problème là et à l’aide des avis des professionnels dans ce domaine là on a décidé de réaliser un nouveau cahier des charges qui contient des nouveaux recommandations concernant les façades et leurs qualité, puis on a essaie de réaliser tout ces recommandations dans notre projet de fin d’étude.
Et voir que le manque de l’infrastructure culturelle dans la ville d’Ain El Beida comme cas spécial on a décidé de réaliser un complexe culturel dans cette ville pour bien assurer la multi fonctionnalité des services bénéficiers.
Finalement on a essaie de réaliser un complexe culturel à la ville d’Ain El Beida avec des façades de la bonne qualité qui sert d’assurer une vision pareil entre les gens, malgré il reste « de plaire à tout le monde, n’est pas possible ».
[1] la qualifie de "Fragments historiques de la région de Aïn Beïda" 2003
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